stunnel4/doc/stunnel.fr.pod

637 lines
18 KiB
Plaintext

=head1 NOM
=encoding utf8
stunnel - tunnel SSL universel
=head1 SYNOPSIS
=over 4
=item B<Unix:>
B<stunnel> S<[fichier]> | S<-fd [n]> | S<-help> | S<-version> | S<-sockets>
=item B<WIN32:>
B<stunnel> S<[fichier]> | S<-install> | S<-uninstall> | S<-help> | S<-version> | S<-sockets>
=back
=head1 DESCRIPTION
Le programme B<stunnel> est conçu pour fonctionner comme une couche
de chiffrement I<SSL> entre des clients distants et des serveurs locaux
(I<inetd>-démarrables) ou distants. Le concept est qu'à partir de daemons
non-SSL présents sur le système, on peut facilement les configurer pour
communiquer avec des clients sur des liens sécurisés SSL.
B<stunnel> peut être utilisé pour ajouter des fonctionnalités SSL à des
daemons classiques I<Inetd> tels que les serveurs POP-2, POP-3 et IMAP,
à d'autres autonomes tels que NNTP, SMTP et HTTP, ainsi que pour tunneliser
PPP sur des sockets réseau sans modification du code source.
Ce produit inclut du code de chiffrement écrit par
Eric Young (eay@cryptsoft.com)
=head1 OPTIONS
=over 4
=item B<[fichier]>
Utilisation du fichier de configuration spécifié.
=item B<-fd [n]> (Unix seulement)
Lecture du fichier de configuration depuis le descripteur de
fichier indiqué.
=item B<-help>
Affiche le menu d'aide de B<stunnel>.
=item B<-version>
Affiche la version de B<stunnel> et les options de compilation.
=item B<-sockets>
Affiche les options socket par défaut.
=item B<-install> (NT/2000/XP seulement)
Installe un service NT.
=item B<-uninstall> (NT/2000/XP only)
Désinstalle un service NT.
=back
=head1 FICHIER DE CONFIGURATION
Chaque ligne du fichier de configuration peut être soitE<nbsp>:
=over 4
=item *
une ligne vide (ignorée)E<nbsp>;
=item *
un commentaire commençant par «E<nbsp>#E<nbsp>» (ignoré)E<nbsp>;
=item *
une paire «E<nbsp>option = valeurE<nbsp>»E<nbsp>;
=item *
«E<nbsp>[service_name]E<nbsp>» indiquant le début de la définition d'un serviceE<nbsp>;
=back
=head2 OPTIONS GLOBALES
=over 4
=item B<CApath> = répertoire
Répertoire des autorités de certification (CA)
C'est le répertoire dans lequel B<stunnel> cherche les certificats si
l'on utilise I<verify>. Les certificats doivent être dénommés selon la
forme XXXXXXXX.0, où XXXXXXXX est la valeur de hachage du certificat.
Le cas échéant, le répertoire I<CApath> est relatif au répertoire I<chroot>.
=item B<CAfile> = fichier
Fichier d'autorités de certification
Ce fichier, utilisé avec I<verify>, contient plusieurs certificats de CA.
=item B<cert> = fichier
Fichier de chaîne de certificats PEM
Une PEM est toujours nécessaire en mode serveur.
En mode client, cette option utilise cette PEM comme une chaîne côté client.
L'utilisation de certificats côté client est optionnelle. Les certificats
doivent être au format PEM et triés par ordre de niveau décroissant (CA racine
en premier).
=item B<chroot> = répertoire (Unix seulement)
Répertoire de chroot du processus B<stunnel>
B<chroot> enferme B<stunnel> dans une cellule chroot. I<CApath>, I<CRLpath>, I<pid>
et I<exec> sont situés à l'intérieur de la cellule et les répertoires doivent être
relatifs au répertoire correspondant.
Pour que le contrôle de libwrap (wrappeur TCP) soit effectif dans un environnement
chroot, il faut aussi y recopier leurs fichiers de configuration (/etc/hosts.allow et
/etc/hosts.deny).
=item B<ciphers> = listes de chiffre
Sélection des chiffres SSL autorisés
Liste délimitée par deux-points («E<nbsp>:E<nbsp>») des chiffres autorisés pour la connexion SSL.
ExempleE<nbsp>: DES-CBC3-SHA:IDEA-CBC-MD5
=item B<client> = yes | no
Mode client (Le service distant utilise SSL)
Par défautE<nbsp>: no (mode server)
=item B<CRLpath> = répertoire
Répertoire des listes de révocation de certificats (CRL)
C'est le répertoire dans lequel B<stunnel> recherche les CRL avec
l'option I<verify>. Les CRL doivent être dénommés selon la
forme XXXXXXXX.0 où XXXXXXXX est la valeur de hachage de la CRL.
Le cas échéant, le répertoire I<CRLpath> est relatif au répertoire I<chroot>.
=item B<CRLfile> = fichier
Fichier de listes de révocation de certificats (CRL)
Ce fichier, utilisé avec I<verify>, contient plusieurs CRL.
=item B<debug> = [facilité.]niveau
niveau de déverminage
Le niveau est un nom ou un numéro conforme à ceux de syslogE<nbsp>:
emerg (0), alert (1), crit (2), err (3), warning (4), notice (5),
info (6) ou debug (7). Toutes les traces du niveau indiqué et des niveaux
numériquement inférieurs seront affichées. B<debug = debug> ou
B<debug = 7> donneront le maximum d'informations. La valeur par défaut
est notice (5).
La facilité syslog «E<nbsp>daemonE<nbsp>» est utilisée, sauf si un autre nom est spécifié
(Win32 ne permet pas l'usage des facilités.)
La casse est ignorée, aussi bien pour la facilité que pour le niveau.
=item B<EGD> = chemin (Unix seulement)
Emplacement du socket du daemon de recueil d'entropie (EGD - Entropy Gathering Daemon)
Socket EGD à utiliser pour alimenter le générateur d'aléatoires de OpenSSL (disponible
seulement si la compilation a été effectuée avec OpenSSL 0.9.5a ou supérieur).
=item B<foreground> = yes | no (Unix seulement)
Mode avant-plan
Reste en avant-plan (sans fork) et dirige la trace sur stderr
au lieu de syslog (sauf si B<output> est spécifié).
Par défaultE<nbsp>: arrière-plan en mode daemon.
=item B<key> = fichier
Fichier de clef privée pour le certificat spécifié par I<cert>
La clef privée est nécessaire pour authentifier le titulaire du
certificat.
Puisque ce fichier doit rester secret, il ne doit être lisible que
par son propriétaire. Sur les systèmes Unix, on peut utiliser la
commande suivanteE<nbsp>:
chmod 600 fichier
Par défaultE<nbsp>: Valeur de I<cert>
=item B<options> = Options_SSL
Options de la bibliothèque OpenSSL
Le paramètre est l'option OpenSSL décrite dans la page de man
I<SSL_CTX_set_options(3ssl)>, débarassée du préfixe I<SSL_OP_>.
Plusieurs I<options> peuvent être spécifiées.
Par exemple, pour la compatibilité avec l'implantation SSL défaillante
d'Eudora, on peut utiliserE<nbsp>:
options = DONT_INSERT_EMPTY_FRAGMENTS
=item B<output> = fichier
Ajoute la trace à la fin d'un fichier au lieu d'utiliser syslog.
/dev/stdout peut être utilisé pour afficher les traces sur la sortie standard
(par exemple pour les traiter avec les outils splogger).
=item B<pid> = fichier (Unix seulement)
Emplacement du fichier pid
Si l'argument est vide, aucun fichier ne sera créé.
Le cas échéant, le chemin I<pid> est relatif au répertoire I<chroot>.
=item B<RNDbytes> = nombre
Nombre d'octets à lire depuis les fichiers de «E<nbsp>selE<nbsp>» aléatoire
Avec les SSL de version inférieure à 0.9.5a, détermine aussi le nombre
d'octets considérés comme suffisants pour «E<nbsp>salerE<nbsp>» le PRNG. Les versions plus
récentes d'OpenSSL ont une fonction intégrée qui détermine lorsque l'aléatoire
est suffisant.
=item B<RNDfile> = fichier
chemin du fichier de données de «E<nbsp>selE<nbsp>» aléatoire
La bibliothèque SSL utilise prioritairement les données de ce fichier pour
«E<nbsp>salerE<nbsp>» le générateur d'aléatoire.
=item B<RNDoverwrite> = yes | no
Recouvre les fichiers de «E<nbsp>selE<nbsp>» avec de nouvelles données aléatoires.
Par défautE<nbsp>: yes
=item B<service> = nom
Définit le nom de service à utiliser
B<Sous UnixE<nbsp>:> nom de service du mode I<inetd> pour la bibliothèque TCP Wrapper.
Par défautE<nbsp>: stunnel
=item B<session> = timeout
Timeout du cache de session
=item B<setgid> = nom (Unix seulement)
Nom de groupe utilisé en mode daemon (les éventuels autres noms de groupe attribués sont supprimés)
=item B<setuid> = nom (Unix seulement)
Nom d'utilisateur utilisé en mode daemon
=item B<socket> = a|l|r:option=valeur[:valeur]
Configure une option de socket accept (a), locale (l) ou distante (r)
Les valeurs de l'option linger sontE<nbsp>: l_onof:l_linger.
Les valeurs de l'option time sontE<nbsp>: tv_sec:tv_usec.
ExemplesE<nbsp>:
socket = l:SO_LINGER=1:60
définit un délai d'une minute pour la clôture des sockets locaux
socket = r:SO_OOBINLINE=yes
Place directement les données hors-bande dans le flux de réception
des sockets distants
socket = a:SO_REUSEADDR=no
désactive la réutilisation d'adresses (activée par défaut)
socket = a:SO_BINDTODEVICE=lo
limite l'acceptation des connexions sur la seule interface de bouclage
=item B<taskbar> = yes | no (WIN32 seulement)
active l'icône de la barre de tâches
Par défautE<nbsp>: yes
=item B<verify> = niveau
Vérifie le certificat du correspondant
niveau 1 - vérifie le certificat s'il est présent
niveau 2 - vérifie le certificat
niveau 3 - contrôle le correspondant avec le certificat local
Par défaut - pas de vérification
=back
=head2 OPTIONS DE SERVICE
Chaque section de configuration commence par le nom du service entre crochets.
Celui-ci est utilisé par le contrôle d'accès de libwrap (TCP Wrappers) et sert
à distinguer les services B<stunnel> dans les fichiers de traces.
Si l'on souhaite utiliser B<stunnel> en mode I<inetd> (lorsqu'un socket lui est
fourni par un serveur comme I<inetd>, I<xinetd> ou I<tcpserver>), il faut se
reporter à la section I<MODE INETD> plus bas.
=over 4
=item B<accept> = [hôte:]port
Accepte des connexions sur le port spécifié
Si l'hôte n'est pas indiqué, le port est ouvert pour toutes les adresses IP de
la machine locale.
=item B<connect> = [hôte:]port
Se connecte au port distant indiqué
Par défaut, l'hôte est localhost.
=item B<delay> = yes | no
Retarde la recherche DNS pour l'option «E<nbsp>connectE<nbsp>»
=item B<exec> = chemin_exécutable (Unix seulement)
Exécute un programme local de type inetd
Le cas échéant, le chemin I<exec> est relatif au répertoire I<chroot>.
=item B<execargs> = $0 $1 $2 ... (Unix seulement)
Arguments pour I<exec>, y compris le nom du programme ($0)
Les quotes ne peuvent actuellement pas être utilisées.
Les arguments sont séparés par un nombre quelconque d'espaces.
=item B<ident> = nom
Applique le contrôle d'identité d'utilisateur IDENT (RFC 1413)
=item B<local> = hôte
Adresse IP de l'interface de sortie utilisée pour les connexions distantes.
Cette option permet de relier une adresse statique locale.
=item B<protocol> = protocole
Négocie avec SSL selon le protocole indiqué
Actuellement gérésE<nbsp>: cifs, nntp, pop3, smtp
=item B<pty> = yes | no (Unix seulement)
Alloue un pseudo-terminal pour l'option «E<nbsp>execE<nbsp>»
=item B<TIMEOUTbusy> = secondes
Durée d'attente de données
=item B<TIMEOUTclose> = secondes
Durée d'attente du close_notify (mis à 0 pour MSIE qui est bogué)
=item B<TIMEOUTidle> = secondes
Durée d'attente sur une connexion inactive
=item B<transparent> = yes | no (Unix seulement)
Mode mandataire transparent
Ré-écrit les adresses pour qu'elles apparaissent provenir de la
machine client SSL plutôt que de celle qui exécute B<stunnel>.
Cette option n'est disponible en mode local (option I<exec>) qu'avec
la bibliothèque partagée LD_PRELOADing env.so shared library et en mode
distant (option I<connect>) sur les noyaux Linux 2.2 compilés avec
l'option I<transparent proxy> et seulement en mode serveur. Cette
option ne se combine pas au mode mandataire (I<connect>) sauf si la
route par défaut du client vers la cible passe par l'hôte qui fait
tourner B<stunnel>, qui ne peut être localhost.
=back
=head1 VALEUR DE RETOUR
B<stunnel> renvoie zéro en cas de succès, une autre valeur en cas d'erreur.
=head1 EXEMPLES
Pour encapsuler votre service I<imapd> local avec SSLE<nbsp>:
[imapd]
accept = 993
exec = /usr/sbin/imapd
execargs = imapd
Pour tunneliser un daemon I<pppd> sur le port 2020E<nbsp>:
[vpn]
accept = 2020
exec = /usr/sbin/pppd
execargs = pppd local
pty = yes
Configuration de I<stunnel.conf> pour utiliser B<stunnel> en mode I<inetd>
qui lance imapd à son tour (il ne doit pas y avoir de section I<[service_name]>)E<nbsp>:
exec = /usr/sbin/imapd
execargs = imapd
=head1 FICHIERS
=over 4
=item F<stunnel.conf>
Fichier de configuration de B<stunnel>
=item F<stunnel.pem>
Certificat et clef privée de B<stunnel>
=back
=head1 BOGUES
L'option I<execargs> n'admet pas les quotes.
=head1 RESTRICTIONS
B<stunnel> ne peut être utilisé pour le daemon FTP en raison de la nature
du protocole FTP qui utilise des ports multiples pour les transferts de données.
Il existe cependant des versions SSL de FTP et de telnet.
=head1 NOTES
=head2 MODE INETD
L'utilisation la plus commune de B<stunnel> consiste à écouter un port
réseau et à établir une communication, soit avec un nouveau port
avec l'option I<connect>, soit avec un programme avec l'option I<exec>.
On peut parfois cependant souhaiter qu'un autre programme reçoive les
connexions entrantes et lance B<stunnel>, par exemple avec I<inetd>,
I<xinetd> ou I<tcpserver>.
Si, par exemple, la ligne suivante se trouve dans I<inetd.conf>E<nbsp>:
imaps stream tcp nowait root /usr/bin/stunnel stunnel /etc/stunnel/imaps.conf
Dans ces cas, c'est le programme du genre I<inetd>-style qui est
responsable de l'établissement de la connexion (I<imaps> ci-dessus) et de passer
celle-ci à B<stunnel>.
Ainsi, B<stunnel> ne doit alors avoir aucune option I<accept>.
Toutes les I<options de niveau service> doivent être placées dans
la section des options globales et aucune section I<[service_name]> ne doit
être présente. Voir la section I<EXEMPLES> pour des exemples de configurations.
=head2 CERTIFICATS
Chaque daemon à propriétés SSL doit présenter un certificat X.509
valide à son interlocuteur. Il a aussi besoin d'une clef privé pour
déchiffrer les données entrantes. La méthode la plus simple pour
obtenir un certificat et une clef est d'engendrer celles-ci avec
le paquetage libre I<OpenSSL>. Plus d'informations sur la génération de
certificats se trouvent dans les pages indiquées plus bas.
Deux choses importantes lors de la génération de paires certificat-clef
pour B<stunnel>E<nbsp>:
=over 4
=item *
la clef privée ne peut être chiffrée puisque le serveur n'a aucun moyen
d'obtenir le mot de passe de l'utilisateurE<nbsp>; pour produire une clef non chiffrée,
ajouter l'option I<-nodes> à la commande B<req> de I<OpenSSL>E<nbsp>;
=item *
l'ordre du contenu du fichier I<.pem> est significatifE<nbsp>: il doit contenir d'abord
une clef privée non chiffrée, puis un certificat signé (et non une demande de certificat).
Il doit aussi y avoir des lignes vides après le certificat et après la clef privée.
L'information textuelle ajoutée au début d'un certificat doit être supprimée afin que
le fichier ait l'allure suivanteE<nbsp>:
-----BEGIN RSA PRIVATE KEY-----
[clef encodée]
-----END RSA PRIVATE KEY-----
[ligne vide]
-----BEGIN CERTIFICATE-----
[certificat encodé]
-----END CERTIFICATE-----
[ligne vide]
=back
=head2 ALEATOIRE
B<stunnel> doit «E<nbsp>salerE<nbsp>» le générateur de pseudo-aléatoires PRNG (pseudo random
number generator) afin que SSL utilise un aléatoire de qualité. Les sources suivantes
sont chargées dans l'ordre jusqu'à ce qu'une quantité suffisante de données soit lueE<nbsp>:
=over 4
=item *
le fichier spécifié par I<RNDfile>E<nbsp>;
=item *
le fichier spécifié par la variable d'environnement RANDFILE, à défaut
le fichier .rnd du répertoire $HOME de l'utilisateurE<nbsp>;
=item *
le fichier spécifié par «E<nbsp>--with-randomE<nbsp>» lors de la compilationE<nbsp>;
=item *
le contenu de l'écran (MS-Windows seulement)E<nbsp>;
=item *
le socket EGD spécifié par I<EGD>E<nbsp>;
=item *
le socket EGD spécifié par «E<nbsp>--with-egd-sockE<nbsp>» lors de la compilationE<nbsp>;
=item *
le périphérique /dev/urandom.
=back
Avec un OpenSSL récent (>=OpenSSL 0.9.5a) le chargement de données s'arrête
automatiquement lorsqu'un niveau d'entropie suffisant est atteint.
Les versions précédentes continuent à lire toutes les sources puisqu'aucune
fonction SSL ne leur permet de savoir que suffisamment de données sont disponibles.
Sur les machines MS-Windows qui n'ont pas d'interaction utilisateur sur la console,
(mouvements de souris, création de fenêtres, etc.), le contenu de l'écran n'est
pas suffisamment changeant et il est nécessaire de fournir un fichier d'aléatoire
par le biais de I<RNDfile>.
Le fichier spécifié par I<RNDfile> doit contenir des informations aléatoires --
c'est-à-dire des informations différentes à chaque lancement de B<stunnel>.
Cela est géré automatiquement sauf si l'option I<RNDoverwrite> est utilisée.
Si l'on souhaite procéder manuellement à la mise à jour de ce fichier, la
commande I<openssl rand> des versions récentes d'OpenSSL sera sans doute utile.
Note importanteE<nbsp>: si /dev/urandom est disponible, OpenSSL a l'habitude d'utiliser
celui-ci pour «E<nbsp>salerE<nbsp>» le PRNG même lorsqu'il contrôle l'état de l'aléatoireE<nbsp>;
ainsi, même si /dev/urandom est dernier de la liste ci-dessus, il est vraisemblable
qu'il soit utilisé s'il est présent.
Ce n'est pas le comportement de B<stunnel>, c'est celui d'OpenSSL.
=head1 VOIR AUSSI
=over 4
=item L<tcpd(8)>
Service de contrôle d'accès pour les services internet
=item L<inetd(8)>
«E<nbsp>super-serveurE<nbsp>» internet
=item F<http://www.stunnel.org/>
Page de référence de B<stunnel>
=item F<http://www.openssl.org/>
Site web du projet OpenSSL
=back
=head1 AUTEUR
=over 4
=item Michał Trojnara
<F<Michal.Trojnara@mirt.net>>
=back
=head1 ADAPTATION FRANÇAISE
=over 4
=item Bernard Choppy
<F<choppy AT free POINT fr>>
=back